He oui, laisser parler le seum et ne pas s'empoisonner...
Avec une discussion intéressante en dessous. C'est un sujet qui brûle vu l'actualité (inter) nationale. Se réapproprier des espaces d'expression dont le premier sujet sera sûrement : comment qu'on fait ? on peut monter des discussions, des ateliers, des labos, des "technos", un univers entier dédié aux questions humaines qui portent sur l'expression, les idées, la coordination, le recul sur l'information. ça se fait déjà, Mastodon est déjà plus qu'un laboratoire mais il a beaucoup de mérite : recentrer le débat sur nos faiblesses. Et ce débat va au-delà de "pour ou contre Google" par exemple - bien que ce soit une question légitime qui s'inscrive dans la discussion : le but est d'avoir une discussion ouverte et qui se réactualise constamment. (like science I guess)
Après avoir détourné son poste de ministre de l'économie pour préparer son agenda personnel et sa campagne.
Après avoir négligé les conséquences humaines de ce comportement car il avait plus le temps pour s'occuper des piquets de grèves, des licenciements abusifs, etc... (Enfin lui il dirait pas "abusif" mais "nécessaire"...)
Après un mandat désastreux et c'est pas fini (la liste est vraiment beaucoup trop longue). Combien de procès dans leur mouvement ? et combien de condamnations ?
Après des milliards pour les gros monopôles, une annonce de 2M pour la recherche quantique alors qu'au même moment, des restaurateurs se suicident, ... C'est trop demander un peu de priorisation et de dignité humaine ? Il aurait pu sortir 2M pour les restaurateurs et en faire des caisses sans annuler le crédit recherche, etc, mais ça c'est dans un monde "idéal" c'est ça ?
Après avoir éclaté le budget pour ...les fleurs.
Après avoir mépriser les "gaulois réfractaires" qui "traversent pas la rue" pour trouver du travail "en costume" mais pour aller faire l'apéro, etc, etc. La communication officielle est dans un mépris de classe complétement ouf. Et voir qu'on emboîte le pas ne me rassure pas du tout mais j'en fais pas des caisses car ça tomberait vite dans l'alarmisme et le FUD (si c'est pas déjà le cas aux yeux de certains ?). Je me contente de réagir "à mon niveau", à une échelle humaine.
Bref, "après çi, après ça", bin il en rajoute puisque ça passe encore.
On a pourtant les moyens de les virer sans privilégier la violence. Mais je vois que certains se complaisent dans l'opposition "contrôlée" et ça c'est pas bon pour nous... (perso je me suis toujours méfié de Mélenchon pour cette raison - et je n'ai jamais été tenté par le FN/RN ou d'autres extrêmes pour au moins les mêmes raisons).
Manœuvres, couacs, imbroglios, tensions et polémiques : voilà ce que documentent les journalistes en long, en large, en travers, mais toujours… au détriment du fond.
Sous le coude car l'extrait m'accroche :)
"Technique des essuie-glaces" chez Groland ou "technique du chiffon rouge" pour les toréros. Faut voir dans ce cas bien sûr.
Oui très léger aussi !
Il est de base sur les raspberry pi maintenant et il est plus léger que Geany.
"je suis pas d'accord ça dépend de la lampe"
"la musique est bonne...? hm oui ?"
"on aura plus de travail que prévu"
:D
Indexation des cas de covid, échelle de référence et comparaison entre les pays et le GHS.
In a report of 324 pages (in addition to a Website that allows one to explore individual countries), the authors used six dimensions (or categories) to assess countries’ overall preparedness: prevention of the emergence of pathogens, early detection, rapid response, robustness of the health system, commitment to improving national health capacity, and overall (country’s) risk environment. The six categories themselves were built from 34 indicators, 85 subindicators and 140 questions. The authors then combined these six dimensions into an overall score, the index of Global Health Security (GHS). In this blog I shall be referring to that index.
Six concepts pour décliner des indicateurs de références pour le GHS :
- Prévention à l'emérgence des pathogènes
- Détection précoce
- Réponse rapide
- Résilience du système de santé
- Investissement pour améliorer la capacité d'accueil
- Critère global de risque
TL;DR : si le pays ne tombe pas sur une corrélation en 1:1, donc sur la droite y=x à 45° alors il y a un décalage entre les deux échelles de références.
Edit: j'ai pas collé la suite de mon commentaire mais le souci ici c'est l'inversion dans la corrélation. Et apparemment c'est pas juste un problème de signe ^^".
via @jz sur mastodon
L’abîme dans lequel un coronavirus a précipité de nombreux pays illustre le coût humain de la négligence face à un danger pourtant parfaitement identifié. Évoquer la fatalité ne peut dissimuler l’évidence : mieux vaut prévenir que guérir.
[...]
Difficile de feindre l’ignorance devant l’accumulation des diagnostics. Grâce à la vivacité de la recherche en virologie ou en climatologie, la précision des informations disponibles ne cesse de s’affiner. Dans le cas du Covid-19, plusieurs spécialistes alertent depuis des années, notamment par la voix du professeur au Collège de France Philippe Sansonetti, qui présente l’émergence infectieuse comme un défi majeur du XXIe siècle. Des alarmes tangibles n’ont pas manqué : virus grippaux tels que H5N1 en 1997 ou H1N1 en 2009, coronavirus tels que le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS CoV 1) en 2003 puis le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (SRMO CoV) en 2012. De même, le rapport Charney, remis au Sénat américain il y a quarante ans, alertait déjà sur les conséquences climatiques potentielles de la hausse de la teneur de GES dans l’atmosphère.[...]
Puis, ils ont promis pour les semaines à venir les actions ou les moyens qu’ils auraient dû mettre en œuvre des mois plus tôt ! Cette incurie les a conduits à prendre des mesures beaucoup plus draconiennes que celles qui auraient pu suffire en temps voulu, non sans conséquences majeures sur le plan économique, social ou celui des libertés publiques.
Eh ouai putain...
ça me donne de la matière pour mes petits modèles :)