2524 shaares
C'eut été difficile pour le gouvernement de faire pire en matière d'anti-terrorisme.
De plus en plus, on voit la présomption de culpabilité pointer son nez. Avec des rapprochements (dans les discours officiels) dissidence/terrorisme très graves : on ne peut pas tout confondre, dissidence au sens large (opposition, critiques, manifestations, etc...) avec le terrorisme (actes physiques de violences, etc...). C'est déjà une manière en soit de créer le clivage. Les gens qui profèrent "officiellement" ces discours le savent bien. Ils savent aussi qu'une partie de la population sera imperméable à ces rapprochements douteux mais ils comptent sur l'ignorance collective, évidemment. Sur ce, j'y retourne, béééhéééé !