Je valide tous ces points !
J'espère ne pas en retirer un gramme en ajoutant quelques remarques :
La décision du conseil d'état sur le fait que le RN est d'extrême-droite et que LFI est de gauche. Quand bien même il aurait situé LFI à l'extrême-gauche, ce n'est pas vrai au regard de leur programme et de leur comportement, de leur discours. C'est toujours cette comparaison dans les travaux parlementaires et la vie politique qui pousse à cette conclusion. D'un point de vue économique, Michael Zemmour décrit ce fait.
Le Mélenchon-bashing (le harcèlement moral en français) :
Et comme le dit mon très cher copain Sammy ce qui plombe la gauche actuelle, ce qui crispe - à mon avis à raison - c'est Mélenchon... Depuis son «la république c'est moi», on s'attend à ce qu'il dise une nouvelle connerie à chaque fois qu'il ouvre la bouche...
Nous n'avons pas tous le même point de vue sur JLM (et tant mieux). Pour ma part :
Je ne l'ai pas vu franchir une ligne rouge, ni dans ses frasques parlementaires, ni dans son supposé antisémitisme (j'ai lu les complaintes, je ne les balaie pas d'un revers de main mais il y a une surenchère injustifiable sur ces discours qui relève (encore) d'un délit et qui devrait être tranchée par le pouvoir judiciaire avant d'en faire une vérité établie sur des rumeurs).
J'ai regretté ces dernières années que JLM soit la tête de gondole d'un parti en pleine expansion. Et je suis profondément déçu de voir l'individualisme de certains cadres LFI : les "frondeurs".
Je ne supporte plus Guarrido / Corbière qui ont passé le temps à occuper une scène médiatique et se plaindre de la "purge" (oh bordel le choix des mots...) en plein rassemblement du NFP. Et je sais pas trop quoi penser d'un Ruffin ou d'une Autain car ce n'est pas la priorité mais si le calme retombe il faudra en parler (et ne pas se bercer d'idéalisme).
Je réitère mon soutien plein et entier à JLM dans cette période de diffamation extrême, d'oubli de l'histoire et d'inversion forcée des pôles politiques. Le but est de défendre un leader qui porte la voix de ses électeurs et plus encore, c'est encore ce qu'il représente à mes yeux.
Il nous reste quelques jours pour diffuser au maximum l'imposture du RN et de cette droite (ou "gauche") hors cadre qui préfère collaborer avec un ennemi historique de la démocratie plutôt que composer avec une force de gauche qui n'est même pas ouvertement anticapitaliste mais définitivement sociale.