MINNEAPOLIS DÉMANTELE LA POLICE, PUIS EST OBLIGÉ DE LA REMANTELER POUR 6,5 MILLIONS DE $ 👮 - YouTube
Putains de SJW -.-
"gnagnagna toute la police est maychante, supprimez la police"
"ouinouinouin la police fay rien contre le crime"
y'a eu des morts bordel (plus que d'ordinaire !), ils s'en doutaient pas avant d'être aussi radical ? ils font exprès d'être cons et ignorants ou c'est du sabotage pur et simple de la ville ?
je dois relire ces articles en détail car les responsables qui ont actés le démantèlement sont criminels et/ou des lâches. Je veux bien croire que leur position n'est pas simple mais c'est ça leur responsabilité (car eux se sont pris des gardes du corps quand ça dégénérait, pas les prolos...).
Digression sur le terme SJW : ce que je sous-entendais ici, c'est le fait d'une minorité que je considère comme des intégristes qui parasitent un mouvement (BLM - qui existait apparemment avant la mort de George Floyd).
J'associe cette minorité (peut-être par erreur) à celle qui a parasité l'université d'Evergreen dont j'ai partagé une vidéo et dont certains passages me fument quand je vois un racisme inversé (*), une ségrégation qui revient sans se cacher, une défiance à l'éducation ou au moins aux notions scientifiques et surtout aux humains avec qui ils vivent sur le campus (apparenté "oppresseurs" par ces militants que je dénonce).
(*) racisme inversé : expression peut-être maladroite mais comme j'ai tendance à croire que le racisme est un état social qui défavorise et essentialise certaines minorités ; l'inversion serait qu'une partie de ces minorités retourne cette tendance contre les "oppresseurs" avec un effet gravissime : nier cet état social pour le ramener à une tendance individuelle intrinsèque à la couleur de peau.
Je suis dégouté par Robin DiAngelo qui est payée une fortune pour péter les notions de sociologies telles que je les connais sur ce sujet ( dont je viens d'énoncer la composante racialiste : le fonctionnement d'une société et d'un rapport de force entre plusieurs groupes sur une base ethnique).
Ce qui me fait dire que tout ceci (la minorité agissante dans cette "inversion") est une supercherie :
- Robin DiAngelo (bien que ce soit pas la seule) est blanche : du coup le discours des militants "anti-racistes" ne tient pas puisqu'il rejette de facto toute allégation des "blancs oppresseurs". Déjà, hem..
- Ces militants que j'ai qualifié de SJW au sens ou je l'entends : ils ne souffrent pas du racisme (ils citent l'esclavagisme mais ont grandi avec leur airpods et des nike aux pieds et - en majorité - n'ont pas de problème financier pour se retrouver dans une école à plusieurs dizaines de milliers de $ l'année ; ceux qui se saignent pour être à cette fac ne perdent pas leur temps et suivent les cours (je peux me tromper car je n'ai pas poussé le "profiling" très loin), ne souffrent pas d'un manque de reconnaissance et ne savent pas de quoi il parlent : ils veulent juste exclure les "blancs" ou tout ce qu'ils jugent apparenté à l'oppression (un doigt levé vers eux, un mot plus haut que l'autre, une référence scientifique ou littéraire, etc...).
Je suis peut-être dans le biais de confirmation avec un cas trop à la marge pour Evergreen.
Pour en revenir un peu à Minnea-yaplusde-polis : je suis sur le cul que l'administration d'une ville entière se soumette à la vindicte populaire sur un sujet aussi tendancieux. Enfin ils espéraient quoi en supprimant la police ?
Au moins ils ont peut-être réalisé (pour la majorité qui se fait entraîner dans un sale coup) que la police - même imparfaite - réduit de beaucoup la criminalité et améliore globalement les interactions dans une ville.
On peut s'offusquer légitimement des abus de violences de la police, c'est normal, aussi minimes soient-ils, c'est normal. Mais il y a une limite à la démagogie. S'ils étaient capables de s'en passer (sans foutre une milice toute pétée à la place hin), ce serait un super exemple d'anarchisme viable mais je suspecte que tout ceci va renforcer la volonté d'autoritarisme au final et légitimiter toujours plus de contrôle et de surveillance et d'abus. c'est un traquenard de tomber dans cette démagogie. Et si vous me suivez un peu sur les réseaux, je suis plus sensible aux violences générées par la police que l'inverse (c'est déjà un biais bien que j'ignore pas trop trop la difficulté de la plupart d'entre eux, les suicides, toussa...). Et je dénonce occasionnellement (je suis pas tout non plus) ces connards de syndicats de polices qui jettent de l'huile sur le feu sur les réseaux (alors qu'ils n'ont pas le droit (devoir de réserve), notamment les commissaires et préfets). Ou si ils ont le droit alors ce n'est juste pas la prérogative d'un syndicat qui devraient oeuvrer pour les conditions des salariés plutôt que d'oeuvrer sur des démagogies politicardes (ce qui arrange bien les discours officiels et projets de loi qui s'ensuivent).
Les groupes avec des flics racistes, violents, suprémacistes, etc sont une réalité et je crois qu'elle est encouragée par un état de délabrement de l'institution (organisée par nos politiques, moins pour la police car justement ça permet d'entretenir une division à ce niveau entre les prolos, flics ou non) et - justement - une hierarchie qui profite de son pouvoir plutôt que de donner des garanties.
Et j'en reviens au SJW et ce que j'y dénonce : une personne ou groupement qui se donne une légitimité sur un sujet qu'elle ne maîtrise pas (on reste dans l'invective et la dénonciation sans réels éléments à charge) et qui se donne le droit de jugement pour tout un groupe dont elle ferait à peine partie (il n'y a pas UNE communauté noire aux USA, il ya des pauvres, des bourgeois, des riches et des wealthy (plus rare certes) et ils ne défendent pas tous le même steack, comme les blancs ou les hispaniques en fait). Là je parle de couleur de peau car c'est le crédo de BLM mais les SJW peuvent s'emparer de tout.