Aujourd’hui, le syndicalisme, éclaté en une myriade de confédérations et d’unions syndicales, a largement perdu son rôle d’« unificateur » de la vie sociale. Beaucoup de syndicalistes sont repliés dans les entreprises ou enfermés dans l’institutionnalisation ; pour certains, le syndicalisme est ainsi devenu un travail comme un autre, avec ses horaires fixes, ses jours fériés, ses vacances.
Un travail comme un autre ? pas bête. Alors pas le côté "routine, ennui, désespoir" mais le côté "rémunéré, investi, créatif" et je trouve que c'est une bonne idée.
Déjà je considère que "mère au foyer" (ou père au foyer, c'était le cas chez moi) ça devrait être un statut de travail, et syndicaliste ça me semble évident aussi. Tous les travails portés vers l'humain devraient être valorisés, de base.
Seulement il faut être honnête, "on" vit dans une simulation financière et on croit la valeur de l'argent ou les prédictions économiques aussi dur que le fer qui fait le noyau de notre planète (une minorité continue de nous l'imposer pour finalement nous le faire croire). C'est d'une tristesse absolue, je ne m'en remets toujours pas(*).
(*) Il y a une "chance" pour que ce soit votre cas, je recommande l'humour et le détachement, entre-mêlés de touches de folie douce. Et un entourage vivant !!