Site original : FredericBezies
De nos jours, nous sommes habitués aux jeux en téléchargement intégral, les boîtes se résumant à des coquilles vides avec un code pour récupérer le jeu en ligne – bon courage si vous n’avez pas la fibre optique – ce qui tue un peu l’intérêt de payer plein pot pour un jeu.
J’ai pu récemment remettre la main sur des vieux jeux fournis en boite. Je pense par exemple à la boîte stylée d’un Quake 3 Arena que je jouais à la fin des années 1990 sur une carte Nvidia GeForce 2 MX (si ma mémoire est bonne).
J’ai aussi eu à leurs époques respectives les boites de Quake, Quake 2 ou encore Unreal. Je ne les ai pas conservés et je dois dire que je les regrette un peu.
J’ai eu récemment un arrivage d’autres jeux, spécialement des RPG, un domaine qui m’attire un peu moins que les FPS ou encore les RTS.
Mais je ne crache pas sur les boites qui promettaient tant et les surprises, parfois bonnes, parfois mauvaises qui nous attendaient au premier démarrage. Parfois, il y avait des mises à jour à télécharger, parfois on les récupéraient sur des CDs de magazine.
Toute une époque, je vous dis. Faites-moi confiance
Mais il n’y a pas que les jeux sur CDs. Il y avait aussi les jeux sur disquettes, que ce soit au format 5 pouces 1/4, soit au format 3 pouces et demi. J’ai quelques jeux aux deux formats, même s’il me manque un lecteur de disquette 5 pouces 1/4 pour mon Commodore 64.
Pour les jeux PCs sur disquettes, j’ai ma version boite du jeu « Attack of the PETSCII Robots » pour MS-DOS. Inutile de préciser que lancer des jeux prévu pour MS-DOS sous MS-Windows 98SE et sa ligne de commande, ça fait parfois drôle.
Entendre le doux grattement de la tête de lecture sur une biscotte… euh je voulais dire une disquette.
Allez, je vous laisse, j’ai des vieux jeux, dont Doom – celui de 1993, quoi d’autre – qui m’attendent avec impatience pour me botter l’arrière-train.
Minuscule en vrac’ en ce quatrième mercredi de mars 2023.
Ajout au 26 mars : l’article n’a pas été publié avant suite à une mauvaise manipulation de ma part.
Désolé !
Côté logiciel libre, informatique et internet.
Côté culture ?
Rien cette fois.
Pour finir, une nouvelle vidéo de la série « Les pitreries du libre » consacré au monde archlinuxien.
Sur ce, bonne fin de semaine !
Dans l’épisode 3 de ma série de billets rétroludique en dur, j’avais expliqué que j’avais équipé le PC d’une carte Sound Blaster Live PCI. J’avais pu testé la compatibilité Sound Blaster 16 et elle s’est révelée excellente.
Le dernier point manquant ? Des enceintes. N’ayant que deux port USB disponibles et utilisés par la souris et le clavier – il faudra vraiment que j’achète des adaptateurs USB vers PS2 – je ne pouvais pas utiliser les enceintes de mon PC.
Sauf qu’après y avoir réfléchi durant quelques heures, je me suis dit que je pouvais tenter de faire sauter soit la souris, soit le clavier pour libérer un port USB et y brancher les hauts parleurs.
MS-Windows 98 ne faisant la gueule que s’il ne trouve pas de souris au démarrage, j’ai donc jonglé avec la souris que j’ai débranché pour récupérer un précieux port USB 1.1.
Mon intuition avait été la bonne et j’ai donc pu avoir une sortie son plus pratique d’utilisation qu’un casque filaire pour téléphone portable. Et surtout bien plus agréable à gérer.
J’ai donc enregistré la vidéo ci-dessous avec mon téléphone portable en essayant de rester aussi fixe que possible, en lançant le jeu qui a été le plus porté au monde, j’ai nommé Doom.
Quelle sera la prochaine étape ? Acheter des adaptateurs PS2 vers USB pour la souris et le clavier. Trouver des enceintes à alimentation USB en occasion. Et peut-être lui greffer une carte réseau d’époque, histoire de pouvoir transférer plus simplement les jeux que j’aurai envie de redécouvrir sur du vrai matériel et non pas dans Dosbox-X.
À suivre, donc
Dans l’épisode 2 de cette série, je parlais de la grande époque du « plug’n’play ». Cette semaine, c’est encore le cas, et ici le « plug’n’play » n’a pas fonctionné comme je l’espérais.
J’ai pu acheter à vil prix (10 €) une carte Sound Blaster Live PCI pour donner de la voix au PC. Celui est complètement muet, je le rappelle.
Je me suis dit que c’était pas si cher que cela. Jetez un oeil sur les SoundBlaster 16 historiques, celles en ISA… Ne le faites pas si vous êtes cardiaque. Vous êtes prévenus.
Voici à quoi ressemble la carte Sound Blaster Live au naturel.
Au moment de l’installation physique, je suis obligé de mettre la carte au milieu des ports PCI, sinon je n’arrivais à remettre en place la réglette qui sert à faire tenir l’ensemble en place.
C’était la partie la plus facile. Au démarrage, MS-Windows 98SE est incapable de me proposer un pilote. J’ai donc dû fouiller sur la toile pour trouver des pilotes qui collent bien. Ma première tentative a été un échec, ne trouvant que des pilotes pour la Sound Blaster Live 5.1, celle que je ne possède pas.
La deuxième tentative s’avère être la bonne, même si j’ai du forcer la main à MS-Windows 98 pour qu’il me configure correctement la carte son. Quand je regarde dans les ressources, j’ai un petite poussée de sueur. L’IRQ attribué est le 9, donc non compatible avec les réglages de la Sound Blaster 16 que je veux faire émuler.
Par chance, je vois une autre entrée, sobrement intitulée « Sound Blaster 16 emulation ». Je jette un oeil sur les IRQ utilisé, par chance, c’est la 5. Ce qui permet de faire fonctionner la plupart des jeux sonorisés par une Sound Blaster 16.
N’ayant pas encore d’enceintes, j’ai utilisé un casque filaire pour téléphone portable. Quel soulagement quand après avoir lancé « Attack of the PETSCII Robots » pour MS-DOS d’entendre la musique du menu. Si ce jeu passe, les autres demandant une Sound Blaster avec l’IRQ 5 seront fonctionnels.
Prochaine étape ? M’équiper de hauts parleurs externe. Ce qui sera abordé dans le prochain épisode de la série. À suivre…
Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de mars 2023.
Côté logiciel libre, informatique et internet.
Côté culture ?
Hubris. a annoncé la sortie de leur quatrième album, « The One Above ».
Sur ce, bonne fin de semaine !